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Liebe Freundinnen und Freunde
des DFK Paris, 

nachdem das neue Jahr 2025 am DFK Paris mit einer Diskussionsveranstaltung zu Philippe Bordes Studie Jacques Louis David, la traite négrière et l’esclavage (erschienen in unserer Reihe Passerelles) begonnen hat, folgt in dieser Woche die Tagung Les reflets de Pierrot – eine Begleitveranstaltung zur aktuellen Ausstellung Revoir Watteau im Louvre, die wir gemeinsam mit dem Museum und der University of St Andrews durchführen. Im Anschluss an den ersten Teil dieser Veranstaltung im Louvre wird der zweite Teil am DFK Paris der künstlerischen Rezeption der Figur des Pierrot im 19., 20. und 21. Jahrhundert gewidmet sein (siehe das Programm auf unserer Webseite).

Es freut uns, dass wir in diesem Jahr aber auch wieder Veranstaltungen mit zahlreichen anderen Museen durchführen werden – u.a. mit dem Deutschen Historischen Museum Berlin, dem Jeu de Paume, dem Musée Picasso-Paris und dem Musée Rodin, wo im November 2025 eine gemeinsam mit dem Deutschen Literaturarchiv in Marbach organisierte Journée d’étude über Rilke und die Künste stattfinden wird. Über alle diese Veranstaltungen werden die kommenden News­letter informieren.

Neben dem von unserer Gast­wissen­schaftlerin Julia Gelshorn veranstalteten Work­shop Marxist Art Historio­graphy am 11. und 12. Februar möchte ich schon jetzt zwei spätere Veranstaltungen an­kündigen. Am 13. und 14. Mai 2025 findet die vom DFK Paris organisierte Stiftungs­konferenz der Max Weber Stiftung statt – Denken zwischen den Sprachen. Über­setzung als Paradigma der Geistes­wissen­schaften. »La langue du monde, c’est la traduction«, schreibt die französische Philosophin Barbara Cassin. Ausgehend von dieser Beobachtung fragt die Veranstaltung danach, wie in den Geistes­wissen­schaften mit der Verschieden­heit der Sprachen zugleich auch die Verschieden­heit von Begriffs­systemen, Wissens­ordnungen und Welt­anschau­ungen zur Debatte steht.

Zweitens möchte ich bereits auf eine am 8. und 9. Juli in Kooperation mit dem DFK Paris am Jeu de Paume statt­findende Tagung hin­weisen. Sie begleitet die dortige Ausstellung Le monde selon l’IA und geht auf einen vor­bereitenden Workshop am DFK Paris zurück, der einer kritischen Reflexion der konzeptuellen Veränderungen der Kunst­geschichte durch die Technologien der Künstlichen Intelligenz gewidmet war.

Last but not least: Im Jahr 2023 haben wir das neue Format der Doktorand:innen­verträge eingeführt, das auf eine große Resonanz gestoßen ist. Anbei finden Sie die aktuelle Ausschreibung.

Mit herzlichen Grüßen
Peter Geimer
Direktor des DFK Paris

Chères amies et chers amis
du DFK Paris,

Après la rencontre autour de l’ouvrage de Philippe Bordes Jacques Louis David, la traite négrière et l’esclavage (paru dans notre collection Passerelles) qui a ouvert au DFK Paris la nouvelle année 2025, nous avons le plaisir d’annoncer la tenue, cette semaine, du colloque Les reflets de Pierrot qui accompagne l’exposition Revoir Watteau au Louvre et que nous organisons avec le musée et l’université de St Andrews. Après une première partie au Louvre, la seconde journée aura lieu au DFK Paris et sera consacrée à la réception artistique de la figure de Pierrot aux XIXe, XXe et XXIe siècles (voir le programme détaillé sur notre site).

Nous avons également la joie de pour­suivre cette année nos collaborations avec de nombreux autres musées tels que le Deutsches Historisches Museum Berlin, le Jeu de Paume, le Musée Picasso-Paris ou le Musée Rodin, où aura lieu en novembre 2025 la journée d’étude Rilke et les arts, coorganisée avec le Deutsches Literatur­archiv de Marbach. Nos prochaines news­letters vous tiendront informé·es de ces manifestations.

Outre le workshop Marxist Art Historio­graphy conçu par notre chercheuse invitée Julia Gelshorn les 11 et 12 février, j’attire cependant déjà votre attention sur deux de nos événements des prochains mois. Le DFK Paris organise les 13 et 14 mai 2025 la conférence annuelle de la Fondation Max Weber, qui sera intitulée Penser entre les langues. La traduction comme paradigme des sciences humaines et sociales. « La langue du monde, c’est la traduction », écrit la philosophe française Barbara Cassin. À partir de ce constat, nous nous interrogerons sur la manière dont la diversité des langues ouvre, dans les sciences humaines et sociales, le débat sur la diversité des systèmes de pensée, des régimes de savoir et de représentation du monde.

Le second rendez-vous que j’aimerais annoncer est un colloque organisé par le DFK Paris et le musée du Jeu de Paume les 8 et 9 juillet, à l’occasion de l’exposition Le monde selon l’IA. Il se nourrit et prolonge un workshop préparatoire mené l’an dernier autour d’une réflexion critique sur les transformations conceptuelles générées par les technologies de l’intelligence artificielle dans le champ de l’histoire de l’art. 

Last but not least : nous avions lancé en 2023 les nouveaux contrats doctoraux, qui ont suscité un intérêt très vif et que nous reconduisons. Vous trouverez ici l’appel à candidatures en cours.

Avec mes salutations les plus cordiales,
Peter Geimer
Directeur du DFK Paris

Les reflets de Pierrot,
de Watteau à Deburau et Prévert et jusqu’à aujourd’hui
Recherches et perspectives

Doktorierendenvertrag
am DFK Paris

Contrat doctoral
au DFK Paris

Blickwechsel

Passages Online (vol. 9)

Art médiéval et médiévalisme

Philippe Cordez (éd.)


Le « Moyen Âge » est une création récente et mouvante, à la fois élaboration historio­graphique stratifiée et appréciation d’objets historiques dans le présent. Ce que nous savons et imaginons informe notre perception. Étudier les arts médiévaux exige donc d’étudier les médiéva­lismes, et réci­proquement.

Ce volume issu de travaux menés en 2015/2016 au DFK Paris rassemble quinze études à propos d’arte­facts médié­vaux et de leur histoire ultérieure, jusqu’à nos jours. Elles sont accompagnées d’un bilan des études germano­phones sur l’art médiéval en France depuis 1933.

Passages Online (vol. 25)

L’expérience sensorielle dans les expositions d’art au XVIIIe siècle

Dorit Kluge, Gaëtane Maës et Isabelle Pichet (éd.)

Au XVIIIe siècle, les expositions d’art organisées au Louvre à Paris par l’Académie royale de Peinture et de Sculpture créent un événement socio­culturel inédit, qui a rapide­ment suscité la curiosité et l’envie du public de province et des autres nations. La visite du Salon du Louvre ou de toute autre exposition d’art, où s’entre­mêlent la volonté de se divertir et celle de s’instruire, se présente alors comme une expérience où les différents sens sont sollicités. Il est alors possible d’intro­duire la notion de « corps sensoriel », car non seule­ment la vue, mais encore l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût sont inter­pelés de manière variée et complexe à tout moment de la visite.